Pour que nos vies ne soient plus classées sans suite
Nous exigeons l’adoption d’une loi cadre, réclamée depuis des années par des associations féministes et financée à hauteur de deux milliards d’euros par an, contre les violences de genre.
Pour que la parole des victimes : des femmes, des personnes LGBTQIA+ et des enfants ne soit plus jamais remise en cause.
En 2017, nous étions des millions à témoigner pour dénoncer les violences sexistes et sexuelles que nous avions subies et subissons encore. Nous avons poussé un cri de colère, habité·es par l’espoir que la société nous entendrait ENFIN et agirait. Mais 5 ans après la propagation de ce hashtag qui a révélé le caractère systémique et massif de ces violences, est-ce que les choses ont profondément changé ? Non !
5 ans après, les victimes parlent encore, mais que fait la société de leurs paroles ? Elle les méprise et les remet en cause, préférant la présomption d’innocence accordée aux hommes accusés et la présomption de méfiance à l’égard des victimes. Que font la société, la police et la justice quand des femmes, des personnes LGBTQIA+ et des enfants témoignent ou portent plainte ? Elles acquittent les agresseurs et violentent à leur tour. Elles classent nos vies sans suite!
Nous parlons mais la société et les politiques refusent d’écouter. Nous multiplions les hashtags de #MeToo à #DoublePeine et ils n’agissent pas !
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